Les GROS MOTS des éditeurs de solutions de Reporting !

Pour commencer l’année en douceur, rien de mieux qu’un petit rappel sur des termes fréquemment utilisés par les éditeurs de solutions de reporting et qui restent parfois nébuleux…

Focus sur trois GROS MOTS, à déguster sans modération après les fêtes en vue d’un petit régime intellectuel :

BI (Business Intelligence) : également appelé « Informatique décisionnelle », la BI englobe les solutions d’analyse de données. Elle permet d’intégrer et d’organiser des informations en provenance des applications des entreprises. Les données sont extraites via un ETL, puis déposées dans un entrepôt (le datawarehouse) qui permettra de collecter et de stocker les bases. Les informations sont ensuite distribuées puis exploitées par le biais de tableaux de bord et de reporting. L’objectif de la BI : faciliter la prise de décision des décideurs et le pilotage de l’entreprise en répondant de manière optimale aux besoins en termes d’accès aux ressources, d’analyse et de présentation des indicateurs clés de l’activité.

Datavisualisation : la visualisation des données (en bon français) est l’art de représenter des données de façon visuelle. Graphiques, camemberts, diagrammes, cartographies, chronologies, infographies, … tout y passe. Un seul objectif en ligne de mire : visualiser pour mieux piloter. Pour cela, le mot d’ordre est de regrouper l’essentiel des données sur un seul et unique écran et de les traiter de manière dynamique pour rendre les indicateurs pertinents. Si vous décidez de vous mettre demain à la datavisualisation, gardez à l’esprit les deux préceptes suivants :

  • sélectionnez la pertinence et la simplicité des données (mieux vaut un visuel simple et compréhensible qu’un amas de données qui ne voudra plus rien dire !)
  • laissez libre-court à votre imagination : couleur, images… libérez votre âme d’artiste !

In-memory : la technologie In-memory est une avancée majeure dans le monde de la BI. Elle s’appuie sur un moteur facilitant le bon fonctionnement et la vélocité du reporting. Les formules sont d’abord interprétées puis le mécanisme permet la constitution en mémoire de données agrégées. Les bases de données en mémoire rationalisent ainsi les tâches qu’implique le traitement des requêtes. En l’absence de ce moteur, chacune des formules envoie une requête, ralentissant ainsi le processus d’interrogation des données. Le In-memory répond donc aux besoins de temps-réel des systèmes embarqués. Les temps de réponse aux requêtes deviennent ainsi extrêmement rapides.